Enquxea;te transversale auprxe8;s des 254 OP de l’agglomxe9;ration de Montpellier pour connaxee;tre leur opinion sur l’importance des diffxe9;rents modes de prise en charge de l’obxe9;sitxe9; et leurs habitudes de prescriptions de l’AP.
203 questionnaires ont xe9;txe9; retournxe9;s (80 % ). Les OP sont 82 % , 59 % et 53 % xe0; penser que la nutrition, l’AP et la prise en charge psycho-comportementale sont importantes. Seuls 21,8 % des OP (44/203) conseillent une AP quotidienne. 16,9 % (34/203) prxe9;conisent une AP > 30 min/j (recommandations du PNNS). Si 76,4 % des OP (155/203) xe9;valuent l’AP habituelle, seuls 11/203 (5,4 % ) et 6/203 (2,9 % ) utilisent des questionnaires validxe9;s ou des podomxe8;tres pour cela. Les autres le font de faxe7;on subjective.
Les attentes des OP vis-xe0;-vis de l’AP sont les effets santxe9; (58 % ), la perte (27 % ) et le maintien (26 % ) du poids. La principale difficultxe9; signalxe9;e est le manque de compliance des patients (63 % des OP) ; le manque de pratique et/ou de formation est considxe9;rxe9; comme un problxe8;me important par seulement 16 % des OP alors que seuls 45 % et 29 % d’entre eux dxe9;clarent avoir rexe7;u une formation thxe9;orique ou pratique. L’IMC et l’AP des mxe9;decins a peu d’influences sur leurs attitudes et pratiques mxea;me si ceux qui dxe9;clarent avoir une AP importante y attachent plus d’importance que les autres (p < 0,05).
De par son excellent taux de rxe9;ponse, cette enquxea;te permet d’avoir un bon reflet des attitudes et pratiques des OP vis-xe0;-vis de la prescription de l’AP pour la prise en charge de l’obxe9;sitxe9;. Ils placent clairement l’AP au second plan derrixe8;re la dixe9;txe9;tique et leurs conseils ne permettent pas d’atteindre les recommandations. Il existe un manque de formation non reconnu par les OP. Ils estiment que leurs patients sont non compliants mais n’auraient-ils pas plutôt un manque de compxe9;tence pour les aider xe0; se mettre xe0; l’activitxe9; ?