Un questionnaire (incluant des situations cliniques) portant sur le dxe9;pistage et la prise en charge d’un diabxe8;te cortico-induit (DTCI), ainsi que sur la gestion d’une CT chez un patient diabxe9;tique, a xe9;txe9; adressxe9; xe0; 400 mxe9;decins gxe9;nxe9;ralistes (MG) de Midi-Pyrxe9;nxe9;es sxe9;lectionnxe9;s par tirage au sort.
Parmi eux, 105 MG (26,25 % ) ont rxe9;pondu xe0; l’enquxea;te : 94 % ont instaurxe9; une CT, entre janvier et mars 2009, chez au moins 1 patient et 37 % chez plus de 15 patients non diabxe9;tiques. Seuls 44 % d’entre eux rxe9;alisent une recherche prxe9;alable des facteurs de risque du DTCI. Chez un sujet jugxe9; « xe0; risque », un dxe9;pistage de l’HG est proposxe9; systxe9;matiquement par 15 % des MG, et occasionnellement par 42 % d’entre eux : glycxe9;mie veineuse xe0; jeun (56 % des cas), xe0; 14 h (9 % ), HbA1c (18 % ). En cas de corticothxe9;rapie prolongxe9;e, seuls 69 % des MG proposent une surveillance mxe9;tabolique : glycxe9;mie veineuse xe0; jeun (63 % ), xe0; 14 heures (6 % ), autosurveillance glycxe9;mique (27 % ), HbA1c (32 % ). En 2008, 30 % des MG ont dxe9;couvert au moins 1 cas de DTCI, rxe9;vxe9;lxe9; parfois par une dxe9;compensation hyperosmolaire (1 xe0; 5 cas pour 4 % des MG).
Chez les sujets diabxe9;tiques connus, 81 % des MG ont renoncxe9; au moins une fois xe0; la corticothxe9;rapie. Lorsqu’elle est prescrite, 73 % des MG examinent prxe9;alablement le carnet de surveillance, 18 % seulement mesurent l’HbA1c, mais 58 % d’entre eux conseillent une intensification de l’autosurveillance glycxe9;mique, xe0; jeun (19 % ) ou post-prandiale (21 % ).
Nos rxe9;sultats montrent que, si les MG ont conscience du risque d’HG lixe9; xe0; la CT, l’absence de recommandations concernant sa prise en charge induit des attitudes cliniques hxe9;txe9;rogxe8;nes. Travail soutenu par Novo-Nordisk et Lifescan.