Nous avons réalisé une étude rétrospective dans un centre hospitalier universitaire, basée sur les IP recensées dans la base de données Act-IP® sur une période de 1 an (novembre 2013–novembre 2014). Le critère de jugement principal est l’acceptation de l’IP par le prescripteur.
Au total, 723 IP ont été incluses dans l’analyse. Parmi ces IP, 79,0 % (n = 571) ont été acceptées par le prescripteur. En analyse multivariée ajustée sur le service et sur le type de recommandation, l’IP est significativement plus acceptée si celle-ci est transmise soit de façon orale au prescripteur dans le service de soins (p < 0,05), soit par un appel téléphonique suivi d’une transmission électronique via le logiciel d’aide à la prescription (p < 0,001).
Le mode de transmission est un facteur prédictif de l’acceptation de l’IP par le prescripteur.