Concr¨¨tement les acteurs des syst¨¨mes de sant¨¦ doivent prendre en compte les diff¨¦rences d¡äordre culturel pour une prise en charge ¨¦thique des patients. Ceux-ci peuvent avoir des difficult¨¦s linguistiques, leurs codes de politesse, d¡ähonneur ou de pudeur, leur interpr¨¦tation propre (rationnelle ou non) des sympt?mes, leurs hypoth¨¨se set th¨¦ories ¨¦tiologiques, leurs traitements compl¨¦mentaires traditionnels, leurs structures familiales etc. Ce n¡äest que par cette prise en compte, que seront humanis¨¦s le colloque singulier, les d¨¦marches administratives, etc. Cette prise en compte peut aider par l¡äexp¨¦rience acquise par les acteurs de sant¨¦ et par certains enseignement set formations.
¨¤ un niveau de sant¨¦ publique, notamment dans le cadre d¡äactions internationales, surgissentd¡äautres questions ¨¦thiques : essais cliniques, acc¨¨s aux vaccins et aux m¨¦dicaments.
Laprise en compte de l¡äinterculturalit¨¦, en quelquesorte pr¨¦text¨¦e par l¡äaction de soinet de sant¨¦ publique, est un moyen privil¨¦gi¨¦ decomprendre la culture de l¡äautre. Naissance, vie et mort, douleurs et joies sont des v¨¦cus et des ¨¦v¨¨nementscommuns ¨¤ tous les humains.