Étude rxe9;trospective ayant concernxe9; 111 diabxe9;tiques admis en cxe9;tose inaugurale. Tous les patients ont bxe9;nxe9;ficixe9; d’un examen somatique complet, d’un bilan biologique et d’une rxe9;animation.
L’xe2;ge moyen est de 31,4 ± 15 ans. Le sexe ratio (H/F) est de 1,7.L’Index de Masse Corporelle est de 22,7 ± 4,9a0;Kg/m2. Le facteur dxe9;clenchant xe9;tiquetxe9; xe9;tait l’infection dans 22,5 % des cas et on n’a pas trouvxe9; de cause dans 64 % des cas. 52,3 % des diabxe9;tiques sont (DT1). La dose d’actrapid requise pour la rxe9;animation en fonction du poids est beaucoup plus importante chez DT1 (0,74 ± 0,58 via 0,5 ± 0,28 UI/Kg ; pa0;=a0;0,008). A la sortie, la dose journalixe8;re d’insuline en fonction du poids est plus importante chez le DT1 (1,2 ± 0,41 via 0,84 ± 0,35 UI/Kg ; pa0;=a0;10–3). Lors du 1er contrôle, la prise pondxe9;rale moyenne xe9;tait manifeste (8 ± 4,5a0;Kg) ; en particulier chez les diabxe9;tiques de type 2 [9,5 ± 4,9 via 7 ± 4a0;Kg pa0;=a0;0,04]. En plus, on a objectivxe9; une diminution des besoins en Insuline par rapport xe0; la sortie (59,3 ± 14,5 vs 52 ± 18,8 UI/J ; pa0;=a0;10–3).
L’insulinothxe9;rapie est le traitement de base de la cxe9;tose diabxe9;tique pour vaincre la glucotoxicitxe9;. Aprxe8;s la phase aigue, son usage se discute cas par cas en fonction du type du diabxe8;te, des paramxe8;tres anthropomxe9;triques, des conditions sociales du patient et de son niveau intellectuel d’autant plus qu’une insulinothxe9;rapie abusive chez DT2 peut aggraver une obxe9;sitxe9; prxe9;existante et ainsi le cercle vicieux de l’insulinorxe9;sistance s’installe.