Trois unit茅s de chirurgie ont particip茅 脿 cette d茅marche s茅quenc茅e en plusieurs 茅tapes.
Une 茅tude de satisfaction a mis en 茅vidence que les patients souffraient mais 茅voquaient peu leur douleur, r茅clamaient peu d鈥檃nalg茅siques et 茅taient paradoxalement satisfaits de la gestion de leur douleur ! Cette enqu锚te a motiv茅 les 茅quipes 脿 s鈥檈ngager dans le projet ;
Des protocoles de traitements hi茅rarchis茅s ont 茅t茅 茅labor茅s en regard de l鈥櫭﹙aluation de la douleur ;
La formation des 茅quipes soignantes, d鈥檃bord th茅orique, a n茅cessit茅 un tutorat de chaque infirmier par l鈥檌nfirmi猫re r茅f茅rente 芦 douleur 禄. Cette d茅marche a permis d鈥檃mener le changement de comportements face aux malades, aux craintes, aux pr茅jug茅s ;
L鈥檃pplication de la d茅marche n鈥檃 pas 茅t茅 facile ! la vigilance s鈥檈st impos茅e 脿 tous ! Des r茅unions pluridisciplinaires r茅guli猫res ont 茅t茅 n茅cessaires pour am茅liorer le processus ;
Une 茅valuation 脿 6 mois a montr茅 une am茅lioration dans le v茅cu des patients, dans les scores de douleur. Les 茅quipes soignantes ont 茅galement exprim茅 leur satisfaction ;
P茅rennisation et 茅tendue de la d茅marche : La r茅daction de documents de r茅f茅rences, l鈥檈nregistrement d鈥檌ndicateurs de qualit茅 sont actuellement en cours. La d茅marche a 茅t茅 茅tendue 脿 5 autres unit茅s de soins.
Pour aboutir, ce projet a n茅cessit茅 l鈥檈ngagement de toute l鈥櫭﹒uipe, une m茅thodologie rigoureuse, la pr茅sence r茅guli猫re sur le terrain d鈥檜ne infirmi猫re de r茅f茅rence. Cependant, une d茅marche centr茅 sur le bien-锚tre du patient ne r茅pond-elle pas aux aspirations de tous ?