Quatre-vingt-sept pour cent des chirurgiens estiment qu鈥檌l s鈥檃git d鈥檜n outil utile 脿 la s茅curit茅 des patients, 28,4聽%n鈥檡 participent jamais et deux sur trois demandent que la C/L soit modifi茅e en raison de l鈥檌mpr茅cision des questions. Trente pour cent estiment ne pas avoir re莽u le soutien n茅cessaire pour sa mise en place et 40聽%soulignent les difficult茅s qu鈥檌ls rencontrent pour r茅unir l鈥檈nsemble des acteurs au moment du 芦聽temps de partage聽禄. Si aucune de ces difficult茅s n鈥檃 pu 锚tre rapport茅e statistiquement au mode d鈥檈xercice (lib茅ral ou public) ou au mode d鈥檃ctivit茅 (sur une ou plusieurs salles), le manque d鈥檌mplication du chirurgien est apparu comme un facteur majeur dans la d茅mobilisation des 茅quipes (p < 1,1 10鈥?).
Bien que son utilit茅 soit reconnue par les chirurgiens pour la s茅curit茅 des patients, l鈥檜tilisation de la C/L reste encore limit茅e. Son contenu doit s鈥檃dapter aux conditions de travail et au type de chirurgie. Cette r茅flexion doit 锚tre orchestr茅e par la commission m茅dicale d鈥櫭﹖ablissement 脿 qui le l茅gislateur a donn茅 un r么le majeur dans la conduite de la politique de gestion des risques.