Les corrélats cérébraux de la stabilité posturale ont été large
ment étudiés. Cependant, au regard des résultats, l’ense
mble du cerveau se
mble contribuer à cette perfor
mance. Dans cet ense
mble, nous avons c
herc
hé à déter
miner quelles structures cérébrales
jouaient un rôle plus prépondérant que les autres pour nous
maintenir debout.<
h4 id="absSec_2">Matériel et
mét
hodes
h4>
Des adultes jeunes et âgés ont réalisé des tâches posturales statiques et dynamiques sur une plateforme de force qui oscillait autour d’un axe transversal à différentes fréquences et amplitudes. Le déplacement du centre des pressions était utilisé comme variable dépendante et les indicateurs cérébraux résultants de différents types d’analyses d’imagerie structurelle étaient utilisés comme prédicteurs dans des modèles linéaires mixtes.
<
h4 id="absSec_3">Résultats
h4>
Les résultats montrent que parmi toutes les régions qui liées au contrôle de la posture, le tronc cérébral est le plus fort prédicteur de la stabilité posturale. Spécifiquement, un plus petit volume était associé à une moins bonne stabilité. Inversement, un plus petit volume des ganglions de la base était associé à une meilleure stabilité posturale.
<
h4 id="absSec_4">Discussion&ndas
h;conclusion
h4>
Ces résultats soulignent le rôle fondamental du tronc cérébral dans le contrôle de la stabilité posturale alors que de plus grandes ressources neurales au niveau des ganglions de la base pourraient être associées à une vigueur de mouvement plus importante provoquant des ajustements posturaux exagérés.